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PARIS : Le jeûne intermittent, une menace silencieuse pour…

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PARIS : Le jeûne intermittent, une menace silencieuse pour les cheveux ?

Des solutions avec Altrient et Neutrient.

Le jeûne intermittent pourrait-il fragiliser les cheveux ?

Pourquoi agir dès maintenant pour prévenir la chute automnale.

Pratique en plein essor, le jeûne intermittent est présenté comme favorable à la perte de poids et à la réduction de certains risques, notamment la maladie d’Alzheimer et le diabète de type 2. Toutefois, un nombre croissant de personnes s’inquiètent d’une chute de cheveux observée depuis l’adoption de cette pratique. Des recherches récentes suggèrent en effet que le jeûne pourrait perturber les processus biologiques délicats qui soutiennent la croissance capillaire, en particulier en l’absence d’un apport nutritionnel adéquat.

Lien entre le jeûne intermittent et la chute de cheveux

Un article récent publié dans Nature et un essai clinique remarquable paru dans Cell apportent un éclairage nouveau sur la manière dont l’organisme priorise ses besoins énergétiques en période de jeûne. Les chercheurs ont observé que des périodes prolongées sans apport alimentaire peuvent amener le corps à détourner l’énergie de certaines fonctions non essentielles, telles que la croissance des cheveux, afin de préserver les ressources destinées aux organes et systèmes vitaux1&2. Au cœur de ce mécanisme se trouvent les cellules souches des follicules pileux, responsables de la régénération capillaire. Ces cellules nécessitent un apport constant en énergie et en nutriments pour rester actives. Lorsque le corps entre en état de jeûne, le métabolisme se modifie, réduisant l’activité de ces cellules souches et pouvant ainsi ralentir la croissance des cheveux, voire provoquer une augmentation de leur chute³.

Cette situation concerne tout particulièrement les femmes, dont l’équilibre hormonal est plus sensible aux variations alimentaires. Cependant, les hommes ne sont pas épargnés : les études montrent que les dommages subis par les follicules pileux ne sont pas spécifiques au sexe féminin, les hommes étant eux aussi affectés par les réponses cellulaires au stress métabolique induit par le jeûne². Le risque est accru lorsque le jeûne s’accompagne d’un apport calorique insuffisant ou de carences en micronutriments, créant un environnement défavorable à la santé du cuir chevelu et des cheveux.

Le jeûne intermittent peut-il altérer la santé du cheveu à long terme ?

Le cheveu suit naturellement des cycles de croissance, de repos et de chute. Lorsque l’organisme est soumis à un stress nutritionnel, ces cycles peuvent être perturbés. Les recherches montrent qu’en période de jeûne, l’une des réactions observées est la mise en pause de l’activité des cellules souches présentes dans les follicules pileux². Plus cette inactivité se prolonge, plus il devient difficile de relancer la phase de croissance.

À terme, cela peut se traduire par :

  • Un affinement global de la chevelure
  • Une quantité accrue de cheveux perdus, visibles sur la brosse ou dans la douche
  • Une repousse plus lente après la chute
  • Un cuir chevelu plus apparent, notamment au niveau de la raie

Pratique en plein essor, le jeûne intermittent est présenté comme favorable à la perte de poids et à la réduction de certains risques, notamment la maladie d’Alzheimer et le diabète de type 2. Toutefois, un nombre croissant de personnes s’inquiètent d’une chute de cheveux observée depuis l’adoption de cette pratique. Des recherches récentes suggèrent en effet que le jeûne pourrait perturber les processus biologiques délicats qui soutiennent la croissance capillaire, en particulier en l’absence d’un apport nutritionnel adéquat.

Soutien nutritionnel : nutriments clés pour une croissance capillaire saine

·     Si un jeûne intermittent de courte durée ne provoque pas nécessairement de problèmes visibles, des pratiques prolongées ou intensives peuvent accroître le risque d’épuisement en nutriments essentiels. Il est donc important que la fenêtre alimentaire inclue des aliments riches en nutriments soutenant la structure du cheveu et la santé du cuir chevelu. L’alimentation devrait ainsi apporter : protéines, collagène, acides gras essentiels oméga-3 (AGE), biotine, zinc, sélénium, riboflavine et vitamine C.

·     La vitamine C, par exemple, contribue à la formation normale du collagène pour assurer le bon fonctionnement de la peau, y compris du cuir chevelu, qui constitue la base d’une chevelure en bonne santé. Elle participe également à la protection des cellules contre le stress oxydatif, un facteur clé du vieillissement et de l’inflammation³.

·     La vitamine D joue aussi un rôle important dans la santé capillaire en contribuant au processus de division cellulaire, mécanisme fondamental du renouvellement et du cycle normal des cellules, y compris celles des follicules pileux.

·     De plus, des nutriments tels que la biotine, le zinc, le sélénium, les acides gras essentiels et la riboflavine contribuent au maintien d’une peau et de cheveux normaux, ainsi qu’au bon déroulement de fonctions biologiques comme la division cellulaire, la protection contre le stress oxydatif et le métabolisme énergétique normal.

Nutriments essentiels pour aider à prévenir la chute de cheveux pendant le jeûne

Le jeûne intermittent peut apporter certains bénéfices pour la santé, mais ceux-ci ne doivent pas se faire au détriment de la chevelure. En cas de perte accrue, de ternissement ou d’affinement des cheveux, il peut être nécessaire de réévaluer ses apports.

L’idéal est d’élaborer un plan alimentaire intégrant les nutriments essentiels suivants :

  • Vitamine C : brocoli, choux de Bruxelles, chou kale, poivrons, chou-fleur, chou blanc, papaye, kiwi, fraises, cassis, cerises acérola, oranges, ananas, mangue, citron, pamplemousse
  • Biotine : jaunes d’œufs, foie, amandes, patates douces, graines de tournesol, flocons d’avoine
  • Riboflavine (vitamine B2) : produits laitiers, œufs, foie, champignons, épinards, amandes
  • Sélénium : noix du Brésil, thon, sardines, œufs, poulet, graines de tournesol
  • Zinc : graines de courge, bœuf, pois chiches, lentilles, noix de cajou, huîtres, œufs
  • Collagène : bouillon d’os, peau de poulet, peau de porc, peau de poisson ; sources végétales uniquement sous forme de compléments alimentaires, car non présentes dans les plantes
  • Vitamine D : poissons gras (saumon, maquereau, sardines), jaunes d’œufs, champignons sauvages exposés au soleil (girolles, morilles)
  • Acides gras essentiels oméga-3 : poissons gras (saumon, sardines, maquereau, anchois, harengs), graines de chanvre, graines de lin, graines de chia, noix.

Faut-il prendre des compléments pour soutenir la santé capillaire pendant le jeûne ?

Si une alimentation saine et équilibrée reste idéale, il n’est pas toujours possible de suivre un régime parfait au quotidien. Dans ce contexte, les compléments peuvent contribuer à combler certaines carences nutritionnelles lorsqu’elles se présentent. La vitamine C, en particulier, a fait l’objet de nombreuses études pour ses bienfaits sur la santé, notamment grâce à son rôle dans la production de collagène et la protection contre le stress oxydatif. L’essai clinique réalisé avec Altrient vitamine C liposomale a notamment mis en évidence que la supplémentation en vitamine C pouvait aider à renforcer et à améliorer la robustesse des cheveux.

Altrient vitamine C liposomale : une stratégie nutritionnelle judicieuse

Consciente du double rôle de la vitamine C dans la santé capillaire – favoriser la production de collagène et protéger contre le stress oxydatif – Abundance & Health a décidé de la soumettre à un test clinique. Le groupe a ainsi mandaté le Princeton Consumer Research pour mener un essai indépendant de 12 semaines sur son complément liposomal Altrient vitamine C à haute absorption. Il a été demandé aux participants de consommer chaque jour 2 000 mg (2 sachets) d’Altrient C.

Les résultats ont montré des améliorations mesurables de la qualité et de l’apparence des cheveux :

  • +20,21 % d’augmentation de l’épaisseur des cheveux
  • +25,00 % d’amélioration de l’aspect sain
  • +30,21 % d’amélioration de l’état général et du toucher
  • +18,93 % de cheveux supplémentaires comptés
  • -50,89 % de réduction de la casse
  • -37,50 % de réduction de la chute

Les participants ont également signalé une meilleure hydratation et texture de la peau, confirmant des bénéfices beauté dépassant le seul cadre capillaire.

D’autres compléments alimentaires à intégrer dans la routine ?

En complément de la vitamine C, d’autres nutriments peuvent renforcer la stratégie de soutien capillaire pendant le jeûne.

La vitamine B et en particulier le Complexe Altrient B liposomal et minéraux, offre une formulation liposomale contenant zinc, sélénium, vitamine B2 (riboflavine) et biotine. Ce cocktail complet contribue au métabolisme énergétique, à la protection des cellules contre le stress oxydatif et au maintien de cheveux et d’une peau en bonne santé.

Le collagène bovin hydrolysé de Neutrient constitue également un apport de choix pour soutenir la structure et la résistance de la fibre capillaire, grâce à sa richesse en peptides de collagène facilement assimilables.

Enfin, la vitamine D3+K2, également disponible chez Neutrient, joue un rôle clé dans le renouvellement cellulaire et le bon fonctionnement de nombreuses fonctions biologiques, contribuant ainsi à un environnement propice à la santé du cuir chevelu et des cheveux.

Comment protéger ses cheveux tout en pratiquant le jeûne intermittent ?

Le jeûne intermittent peut tout à fait être compatible avec une chevelure en bonne santé, à condition d’utiliser judicieusement la fenêtre alimentaire pour y intégrer des nutriments essentiels au cuir chevelu et à la fibre capillaire. En complément d’une alimentation équilibrée, certaines approches de médecines douces peuvent également apporter un bénéfice supplémentaire. La réflexologie, par exemple, consiste à exercer une pression sur des points spécifiques des mains ou des pieds. Des travaux préliminaires ont montré qu’elle pouvait améliorer la qualité des cheveux, en particulier chez des femmes atteintes d’alopécie après une chimiothérapie⁵.

L’ajout de ce type de soutien holistique à la routine de soins capillaires pourrait représenter un geste simple mais précieux pour préserver la santé et l’apparence des cheveux.

D’autres compléments alimentaires à intégrer dans la routine ?

En complément de la vitamine C, d’autres nutriments peuvent renforcer la stratégie de soutien capillaire pendant le jeûne.

La vitamine B et en particulier le Complexe Altrient B liposomal et minéraux, offre une formulation liposomale contenant zinc, sélénium, vitamine B2 (riboflavine) et biotine. Ce cocktail complet contribue au métabolisme énergétique, à la protection des cellules contre le stress oxydatif et au maintien de cheveux et d’une peau en bonne santé.

Le collagène bovin hydrolysé de Neutrient constitue également un apport de choix pour soutenir la structure et la résistance de la fibre capillaire, grâce à sa richesse en peptides de collagène facilement assimilables.

Enfin, la vitamine D3+K2, également disponible chez Neutrient, joue un rôle clé dans le renouvellement cellulaire et le bon fonctionnement de nombreuses fonctions biologiques, contribuant ainsi à un environnement propice à la santé du cuir chevelu et des cheveux.

Références

  1. Trafton, A. (2024). « Why fasting might cause hair loss ». Nature.
  2. Chen, Han et al. Intermittent fasting triggers interorgan communication to suppress hair follicle regenerationCell, 2025 ; Volume 188, Issue 1, 157-174.e22.
  3. Chen et al. (2024). « Fasting suppresses hair follicle stem cell activation ». Cell.
  4. EFSA Register : « Vitamin C contributes to normal collagen formation and protection of cells from oxidative stress ».
  5. Ghavami H, Arjomand L, Radfar M, Khalkhali Hr. Effects of Reflexology Massage on Hair Regrowth After Chemotherapy-induced Alopecia Among Women with Cancer: A Randomised Clinical TrialBezmialem Science. 2020 Jul ; 8(3) : 215-221. doi :10.14235/bas.galenos.2019.3473.