PARIS : La boutique des petites complications
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PARIS : La boutique des petites complications
Le jargon horloger peut être parfois difficile à comprendre pour le commun des mortels.
Heureusement les amateurs de montres ont désormais leur toqué du tic-tac « en chef » pour les aider à appréhender ce monde mystérieux au lexique parfois barbare. Utile ou inutile ? Frank Sans C décrypte l’univers des petites complications en sortant de sa besace une sélection de modèles « à ne pas piquer des hannetons ».
Imaginée au début du XXe siècle par Louis Cartier pour son ami aviateur Alberto Santos-Dumont qui lui demande de lui créer une montre pour faciliter sa préhension lorsqu’il est aux commandes de son aéronef, la Santos devient au fil des décennies une des collections emblématiques de la griffe de luxe.
Boîtier en acier, lunette en or jaune, vis apparentes, chiffres romains (avec signature secrète dans la barre du « V » du « VII »), remontoir orné d’un spinelle de synthèse bleu et aiguilles glaives, la version stylisée perpétue l’héritage de ce classique horloger. Modernité oblige, la pièce est équipée d’un seul bouton-poussoir start/stop positionné à 9h. Tandis que la fonction remise à zéro se fait directement sur la couronne.
’ensemble embarque un calibre automatique de manufacture avec roue à colonnes et embrayage vertical. Ultime des détails : la montre est livrée avec deux bracelets (acier et caoutchouc) facilement interchangeables grâce au dispositif QuickSwitch.
15 900 euros
Consulter la fiche technique de la Montre Santos de Cartier Chronographe.
SEIKO, Prospex Speedtimer Chronographe mécanique
Vous ne le saviez peut-être pas mais dans les années 1960, Seiko se lance dans le chronométrage sportif avec des appareils de mesure du temps plébiscités par les organismes sportifs internationaux.