PARIS : Journée Mondiale de la Santé Mentale, Christian R…
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PARIS : Journée Mondiale de la Santé Mentale, Christian RICHOMME tire la sonnette d’alarme
Chaque année est célébrée le 10 octobre en lien avec l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) la journée mondiale de la santé mentale.
Elle s’installe dans notre époque, celle de l’après Covid et dans une ère très connectée. Quel est le constat ? Quelles sont les actions possibles et comment permettre à chacun de se faire du bien ?
La santé mentale est une composante essentielle de la santé et représente bien plus que l’absence de troubles ou de handicaps mentaux. Selon l’OMS, la santé mentale est un « état de bien-être qui permet à chacun de réaliser son potentiel, de faire face aux difficultés normales de la vie, de travailler avec succès et de manière productive, et d’être en mesure d’apporter une contribution à la communauté ».
Or, il est évident que le bien-être aujourd’hui est mis en danger :
· 50% des personnes dépressives et 20% des schizophrènes ne reçoivent aucun traitement.
· Toutes les 40 secondes, une personne met fin à ses jours et cela touche de plus en plus les 15-25 ans.
· Plus de 21% des personnes souffrent d’un trouble anxieux ou d’une phobie, avec un pic pour les 25-44 ans.
· Les peurs s’intensifient (peur d’être seul, d’être rejeté, de l’abandon), l’estime de soi est faible (dépendance affective ou sociale) et les relations toxiques augmentent (violence physique et psychique).
Notre société vit une crise, celle de la dérèglementation et d’un manque de repère et de limite. Ainsi, les réseaux sociaux permettent à chacun de prévaloir une image virtuelle à son estime de soi. Les crises politiques, économiques, environnementales et financières stigmatisent les peurs, les colères et l’anxiété. Des comportements excessifs se produisent, des phobies explosent, le mal être est permanent et le développement de chaque être est confronté aux regards et aux jugements des autres.
La psychanalyse, depuis plus de 100 ans, est présente pour analyser ces comportements, identifier des mécanismes conscients ou inconscients et fait preuve de proposition, de thérapie et de prise en charge. Avec bienveillance, neutralité et sans jugement, nous recevons nos patients pour être à leur écoute et leur proposer des outils pour avancer dans leur résilience. Nous devons poursuivre ce chemin. Avec notre disponibilité, une tarification abordable et avec professionnalisme, nous avons ce devoir de répondre aux demandes de plus en plus nombreuses, tout en démystifiant notre pratique et notre accompagnement : une psychanalyse ne dure pas une ou plusieurs années, elle peut répondre rapidement à une question ou une difficulté. Avec la connaissance de notre structure psychique, nos mécanismes de défense, nos fausses croyances et nos comportements conditionnés, nous pouvons ainsi mieux nous comprendre, mieux aborder les évènements de la vie, mieux communiquer et trouver la personne qui est en nous.
Spécialiste dans les troubles de l’anxiété, les dépressions, les addictions et les troubles affectifs, je reçois tout type de patients. Avec eux, nous élaborons une stratégie et un travail collectif sur leur situation psychique pour un meilleur épanouissement et un dépassement de leur difficulté. Pour ces raisons, j’ai également publié un livre « Le journal intime de ma thérapie » (Éditions du Net) pour que chaque patient ou chaque personne s’accompagne dans sa thérapie avec des outils et des échelles de mesure. Ce travail est alors possible, il donne des résultats et demeure nécessaire pour chacun d’entre nous.
A PROPOS DE CHRISITAN RICHOMME
Avec un master en Astrophysique, une agrégation de physique, l’enseignement de l’électromagnétisme en école d’ingénieur et 5 ans comme directeur de cabinet d’un député-ministre, Christian Richomme s’est intéressé à l’esprit et à la psychologie clinique. À l’aide de la psychanalyse Jungienne, des TCC (Thérapies Comportementales et Cognitives), d’hypnose et de neurosciences, il s’est spécialisé dans les troubles de l’anxiété, les dépressions, les addictions, les traumatismes ainsi que sur les relations affectives, les ruptures et la recherche de partenaires compatibles.