Les Calavera sont des crânes de squelettes, symboles du Dia de Muertos (Jour des Morts) au Mexique.

Ils représentent une offrande aux morts ou en hommage pour décorer les autels et sont fabriqués à base de pâte à sucre.

Agent Paper vous propose cette Calavera en bois de peuplier décorée par impression

Ce produit ne s’adresse pas uniquement aux Mexicains ou aux amateurs de décors de western, car il a une double fonctionnalité : un espace est prévu en haut du crâne afin d’y insérer un récipient de votre choix : pot de plante, pot à crayon, pot à brosse à dent… les capacités de ce crâne sont infinies !

Il était une fois Agent Paper, une idée durable et maligne

Tout commence à Rennes en 2015, dans l’imprimerie bretonne Micro Lynx. Au fil des années, comme chez tout imprimeur, des montagnes de chutes de papier s’accumulent au pied des machines, dont Olivier Venien, dirigeant de l’entreprise, ne sait que faire. Alors qu’il cherche une idée pour les réutiliser, une « créa » de son équipe s’amuse à concevoir de jolies créations en papier. Il ne lui en faudra pas plus pour percevoir le formidable potentiel caché derrière ces objets. La fabuleuse aventure d’Agent Paper est lancée !

Une success story 100 %“made in France”

Avec une production 100 % issue de ses ateliers de Rennes, l’aventure Agent Paper illustre l’excellence du savoir-faire français, prouvant à quiconque en douterait encore, qu’en France aussi, on sait être compétitif !

Quand le « Made in France » devient synonyme de compétitivité

3 questions à… Olivier Venien, un patron de PME breton convaincu du potentiel extraordinaire du savoir-faire français

Avec Agent Paper, vous avez su vous réinventer en allant au-delà des prestations d’une simple imprimerie. Pourquoi avoir fait ce choix, il y a 8 ans ? M’adapter et me réinventer, c’est ce que j’ai toujours fait, depuis 35 ans. Quand j’ai créé Micro Lynx en 1988, j’avais 25 ans ! Autant dire que le métier d’imprimeur a considérablement évolué depuis. À chaque évolution technologique, j’ai incorporé les différents métiers gravitant autour de l’imprimerie : impression numérique, ennoblissement (vernis, dorures), découpe, routage, logistique, création et prototypage. Cela nous permet aujourd’hui d’offrir à nos clients une offre entièrement intégrée. Et depuis quelques années, le numérique nous conduit à réinventer davantage encore nos métiers. L’idée d’Agent Paper, elle, est née presque par hasard, de la volonté de donner une seconde vie aux stocks de papier. Une idée dont nous avons ensuite fait une vraie opportunité. Désormais, Agent Paper sert de vitrine magnifique à Micro Lynx. Elle démontre l’excellence de notre savoir-faire car pour vendre en magasins, il faut être capable de garantir le zéro défaut ! Quant aux machines, elles sont mutualisées entre les 2 structures, ce qui permet de diversifier l’activité de l’imprimerie vers des produits que nous ne savions pas faire auparavant, comme les PLV en bois par exemple, plus durables que celles en plastique.

Quelles sont vos ambitions pour Agent Paper ? Aujourd’hui, nous souhaitons développer notre activité en direction du B2B. Un secteur pour lequel nous recevons de plus en plus de demandes. Notre compétitivité et notre expertise en matière de personnalisation ont énormément à apporter dans ce domaine.

Vous affichez votre démarche « Made In France » avec fierté. Mais ce parti-pris est -il viable à l’heure de la mondialisation ? Bien sûr, et nous en sommes la preuve ! L’idée reçue selon laquelle le « Made in France » coûte forcément plus cher est fausse. Certains de nos clients font d’ailleurs appel à nous, après avoir été déçus par les réponses de leurs fournisseurs chinois, que ce soit en termes de prix, de délais et, bien sûr, de qualité. Des solutions peuvent être trouvées en optimisant les technologies et en rationalisant les process mais aussi en sortant de la standardisation. Typiquement, aucune entreprise ne peut vendre de puzzles à 10 exemplaires sans être équipée comme nous le sommes. Par ailleurs, la marque reste à l’écoute de toute demande spécifique. Il est aujourd’hui non seulement possible, mais indispensable, de relocaliser les sites de production.