Faisons simple, comme disait Foch : Il y a désormais deux sortes de victimes en France.

1️⃣ Il y a les victimes qui sont connues des services de Police et qui ont un casier judiciaire ouvert avec des mentions. Ce sont pour la plupart des trafiquants, des délinquants, des voleurs, des voyous et des criminels. Ils ont souvent quatre points communs : ils sont issus de l’immigration, ils portent les codes de l’islam, ils rejettent notre Drapeau et ils refusent d’obtempérer aux injonctions justifiées des forces de l’ordre.

➡️ Ils portent des prénoms : Nahel, Adama, Zied, Bouna…

2️⃣ Et il y a les victimes, innocentes, honnêtes, qui aimaient la France et chérissaient son histoire, sa culture, son identité, ses valeurs et son drapeau : Thomas, Adrien, Axelle, Lola, Maurane, Stéphanie, Arnaud, Jessica, Jean Baptiste, Philippe, Megane, Audrey, Sandrine, Hélèna…

Pour ces dernières victimes, pas d’émeutes, pas d’indignation médiatique et pas de minute de silence à l’Assemblée nationale. À 23h00, hier soir, Mediapart n’avait toujours pas cité l’assassinat du jeune Thomas.

➡️ Cette dernière liste s’allonge et apparaît interminable.

➡️ Interminable, car le pouvoir ne veut pas y mettre un terme.

➡️ Interminable, car la violence liée directement à l’immigration et à une Religion continue de frapper aveuglément des français innocents.

✅ ️Cette violence vient des enclaves islamisées. Elle est ciblée. Elle est intentionnelle. Elle n’est pas la conséquence du hasard. Elle se déplace désormais vers nos campagnes. Elle terrorise.

➡️ Je n’ai jamais vu autant de français soucieux de se prémunir et de se préserver de cette violence anti France, anti blancs, anti chrétiens et anti juifs.

‼️Jamais.

✅ ️Comme d’habitude, les représentants de l’Etat me liront. Ils savent que tout ce qui est dénoncé ici est validé par le quotidien. Mais ils obéissent toujours à un pouvoir paralysé et impuissant.

➡️ Nous aboutissons toujours à l’essentiel dans nos analyses : le manque de courage.

🔴 On règle beaucoup de choses avec le courage. Je ne parle pas du courage d’apparence. Non. Je parle toujours de celui qu’il faut avoir dans les tripes.

Yann BIZIEN.