Un enfant de 10 ans tué par balle cette nuit à Nîmes, un Maire agressé et battu samedi par des gens du voyage, un migrant qui agresse des Français sur la terrasse d’un café…

Des femmes sauvagement violées, pères de familles, personnes âgées, enseignants et prêtres égorgées, parfois par des mineurs, communautarisation, islamisation, multiplication des enclaves, extension des zones de non droit, refus d’obtempérer, émeutes, pillages, bâtiments publics brûlés, commissariats et casernes attaqués : il n’y a aucun doute, la France s’enfonce dans un chaos généralisé avec une hyper violence systémique, mimétique, chronique, endémique, persistante et inquiétante.

Des armes de guerre circulent partout dans le pays. Les trafics et règlements de comptes sanglants sont devenus des normes du quotidien.

Nous ne pouvons plus compter les victimes tellement elles sont nombreuses.

Nos valeurs sont bafouées, piétinées et inversées.

La Justice est faible et dépassée.

La violence est banalisée. Les auteurs sont souvent impunis. Nos prisons sont saturées.

En France, la vie ne vaut plus rien. On peut la perdre à tout moment.

Nos forces de sécurité intérieure sont sacrifiées et accusées. Elles ne peuvent plus exercer leur mission dans un cadre juridique sûr, confiant et serein. Les dégâts de ce chaos généralisé sont gigantesques, comme le coût pour les contribuables dépossédés de leur sécurité. Nos menaces principales ne sont ni en Russie ni sur le continent africain, quand c’est le sang de français innocents qui coule chez nous.

Ce constat est objectif et implacable. 

Cette situation est explosive, épouvantable et intenable. La colonne vertébrale de la France s’effondre. 

Le pouvoir doit arrêter de détourner notre attention du drame qui frappe notre territoire national et qui fait « froid dans le dos ». Il doit concentrer toute son action et tous ses moyens, la police, la gendarmerie et même les armées sur notre société ensauvagée, décivilisée, divisée, fracturée, multi-culturalisée et fragilisée.

Yann BIZIEN.