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PARIS : Paek YOUNGSU, une veine spécifique de l’art corée…

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PARIS : Paek YOUNGSU, une veine spécifique de l’art coréen contemporain

Cette saison fait également la part belle à la découverte, de la création artistique moderne vietnamienne au musée Cernuschi, à l’œuvre de François Chifflart à la maison de Victor Hugo ou à la vie de Daniel Cordier au musée de la Libération.

La saison 2024/2025 de Paris Musées propose des dialogues remarquables dans les expositions Rodin-Bourdelle ou Modigliani-Zadkine et met à l’honneur des grandes figures de l’histoire de l’art telles que le peintre caravagesque Ribera au Petit Palais ou l’artiste Gabriele Münter – à qui le musée d’Art moderne consacre une première rétrospective – avec les créations de mode spectaculaires de Stephen Jones ou de Rick Owens au Palais Galliera ou avec la découverte du Paris d’Agnès Varda au musée Carnavalet.

Et s’interroge sur les évolutions et les bouleversements du monde en donnant à voir au MAM l’exposition L’Âge atomique. Les artistes à l’épreuve de l’histoire ou encore en explorant l’année révolutionnaire 1793/1794 au musée Carnavalet ou encore le mariage et la condition des femmes dénoncés par Balzac au 19e siècle.

Paek Youngsu

18.03.2025 – 15.06.2025

Représentant éminent d’une veine spécifique de l’art coréen contemporain, caractérisée par une figuration volontiers naïve, Paek Youngsu (1922-2018) a vécu en France de 1977 à 2011. Suite à une donation de trois œuvres par la veuve de l’artiste, le musée a souhaité lui consacrer un accrochage dans sa salle dédiée à la peinture. Avant d’être peu à peu oublié en France, en raison de sa discrétion et de son retrait dans son atelier, Paek Youngsu y rencontra un réel succès entre la fin des années 1970 et le courant des années 1980. Il était alors prisé pour la sérénité onirique et intimiste de son vocabulaire artistique, constitué de formes courbes et de couleurs pastel en aplat.