Si devenir propriétaire est le rêve numéro 1 des Français, nombre d’entre eux déchantent une fois leur home sweet home acheté.

En effet, en raison de l’accélération du réchauffement climatique, beaucoup de biens immobiliers sont exposés à des risques majeurs (montées des eaux, retrait-gonflement des argiles, incendies…) sans que les acquéreurs le sachent.

Un manque de connaissance ou d’information qui entraîne des drames humains et financiers.

On pense notamment à cette propriétaire qui a acheté un petit pavillon 148 000 € en 2011 et l’a vu se fissurer, à l’intérieur comme à l’extérieur, deux mois à peine après son acquisition. Elle a alors été contrainte de se lancer dans une bataille juridique qui s’est poursuivie jusqu’en 2023 avant d’obtenir le financement des travaux par les vendeurs. Et encore, elle a eu de la « chance », puisqu’il y avait des vices cachés.

La plupart du temps, en cas de défauts liés à la sécheresse, les propriétaires doivent tenter d’obtenir la reconnaissance d’une catastrophe naturelle, puis se tourner vers leur assureur pour déclarer leur sinistre. Or, les procédures sont très longues et n’aboutissent que rarement.

Une situation va aller en s’aggravant dans les années à venir !

Dans ce contexte, Dangers-Habitat propose un outil inédit d’évaluation des risques qui permet de scanner des centaines de paramètres factuels (terrain, taux de criminalité, risques climatiques, qualité de construction…) pour connaître la note de résilience d’un logement face aux risques.

Son objectif : aider à prendre la bonne décision, en fournissant un rapport de risques très détaillé sur n’importe quel logement situé en France métropolitaine.

En savoir plus

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