Skip to main content

PARIS : Halte à la diffamation et à la désinformation !

Print Friendly, PDF & Email

Partager :

PARIS : Halte à la diffamation et à la désinformation !

L’Institut Iliade ne se laissera pas impunément caricaturer, ne serait-ce que pour faire respecter le droit, la liberté de pensée et d’expression, et la déontologie que tout journaliste devrait observer.

À l’occasion des récentes élections législatives, les médias de grand chemin, les médias Saadé, Arnault, Křetínský, Niel, et les antennes du « service public » ont lancé une vaste campagne de diabolisation à l’encontre des candidats du Rassemblement national, en usant souvent de procédés dignes des régimes les plus totalitaires du XXe siècle. Ils n’ont pas hésité pas à émailler leurs « révélations » de procès d’intention caricaturaux et de déclarations erronées ou mensongères Parmi les cibles de ce harcèlement, une candidate s’est vu reprocher son engagement au sein de l’Institut Iliade, en des termes diffamatoires associés à des erreurs factuelles manifestes à propos de l’Institut.

Ces pratiques intolérables – d’antifas qui cachetonnent pour le compte de milliardaires étroitement liés à la macronie – ne peuvent rester sans réplique. L’Institut Iliade ne se laissera pas impunément caricaturer, ne serait-ce que pour faire respecter le droit, la liberté de pensée et d’expression, et la déontologie que tout journaliste devrait observer.

Face à la diffusion de fausses nouvelles et à la diffamation dont il fait l’objet de la part de certains titres de presse (notamment Libération, Mediapart, Le Parisien, StreetPress), qui reprennent plus ou moins servilement les mêmes « éléments de langage », l’Institut Iliade prépare sa riposte. Nous exigerons dans un premier temps la publication de droits de réponse sous peine d’entamer des actions en justice.

Qui sommes-nous, par-delà les caricatures et les fake news ?

L’Institut Iliade a été fondé il y a plus de dix ans par Jean-Yves Le Gallou, Philippe Conrad et Bernard Lugan. M. Henry de Lesquen n’a jamais participé de près ou de loin aux activités de l’Institut.

L’Institut est un organisme de réflexion et de formation, aux travaux duquel contribuent des universitaires et des experts à la légitimité intellectuelle incontestable. Plusieurs centaines de stagiaires et d’auditeurs suivent chaque année ses cycles de formation. L’Institut a organisé onze colloques annuels dans la capitale au sein de la Maison de la Chimie. Il a publié des dizaines d’ouvrages, répartis en cinq collections, principalement sur des questions d’histoire, de géopolitique ou de philosophie. Il est doté d’un pôle Études, qui mène un travail de réflexion prospective profondément original.

L’Institut Iliade ne forme pas de « suprémacistes blancs », une notion étrangère au discours scientifique et au vocabulaire employé dans nos publications, colloques et formations. Nos valeurs nous inspirent une tout autre vision du monde : nous savons que l’âme des peuples, à l’image de grands arbres à la noble ramure, s’élève d’autant plus haut que ses racines sont profondément ancrées sur un territoire.

L’Institut Iliade n’est en aucun cas un organisme « catholique traditionaliste ». Il a pour vocation première l’étude et la transmission du patrimoine civilisationnel européen, tel qu’il se trouve notamment exprimé depuis trois millénaires dans ces grands textes fondateurs que sont les poèmes homériques. L’institut reconnaît la place éminente de l’héritage chrétien dans cette longue tradition, sans réduire pour autant à une approche confessionnelle l’expression du génie pluriel de l’Europe et l’identité de nos peuples, au réveil desquels nous entendons contribuer face aux défis à venir.

Il suffisait aux journalistes de se rendre sur le site Internet de l’Institut Iliade pour découvrir notre présentation officielle, ou d’ouvrir nos publications pour connaître la nature de nos travaux, dont la récente parution du Cahier du pôle Études, consacré à l’Europe, donne une idée précise. Mais les journalistes des « médias de grand chemin », pressés d’accomplir leur médiocre besogne, n’ont sans doute pas le temps de se plonger dans la lecture d’un ouvrage de plus de trois cents pages, réunissant des contributions de haut niveau. La nuance et le respect de la vérité ne sont pas leur obsession première. Ils ont la subtilité des orgues de Staline.

SOURCE : Institut ILIADE pour la longue mémoire européenne.