PARIS : Conduite de nuit et éblouissement, nos conseils
Vous n’aimez pas conduire de nuit ?
Mais en hiver, vous y êtes souvent contraint. Mauvaise visibilité, éblouissement, peur d’un animal qui traverse soudainement la route… Tous nos conseils pour prendre le volant la nuit en toute sécurité.
Quels sont les risques associés à la conduite de nuit ?
Conduire de nuit peut être inévitable, notamment en hiver quand les journées raccourcissent. Plusieurs facteurs contribuent à rendre la conduite moins agréable et surtout plus risquée.
Manque de visibilité, vision perturbée
La nuit, sur des routes peu ou pas éclairées, surtout hors agglomérations, notre acuité visuelle baisse. La perception des couleurs, des contrastes et du relief est altérée et l’appréciation des distances est faussée.
Conduire de nuit demande ainsi une concentration accrue.
Éblouissement
L’un des éléments les plus désagréables de la conduite de nuit vient des voitures qui arrivent en sens inverse. Pendant la durée du croisement, la lumière de leurs phares est braquée en plein visage. L’activité déjà partielle de l’œil est alors stoppée net par ce flash. Le conducteur, ébloui, est alors aveuglé pendant quelques secondes. Selon l’âge du conducteur, il faudra parfois attendre quelques minutes avant que la rétine reprenne son activité.
Fatigue
Conduire de nuit est fatigant. D’autant plus pour les longs trajets où le risque d’endormissement est élevé. Dès les premiers signes de somnolence, les risques d’avoir un accident sont multipliés par 3 ou 4(1).
SOURCE : MMA.
