PARIS : Alexandra BIEDERMANN retrouve le goût à la lectur…
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PARIS : Alexandra BIEDERMANN retrouve le goût à la lecture lors de son volontariat en Afrique du Sud
Alexandra Biedermann a écrit un premier roman prometteur semé d’embûches, et deux autres à venir.
Alexandra Biedermann, Suissesse vivant depuis 10 ans près de Pontarlier (25) a écrit son premier roman aux avis dithyrambiques. Elle traite dans ce thriller d’un sujet tabou. Et si une romance se mêle au thriller, les âmes sensibles devraient s’abstenir. Elle se revendique dans la lignée des romans de Dee Henderson qu’elle a découverts en Afrique du Sud lors d’une mission humanitaire. L’intrigue de Shadows se passe à l’Institut de Recherche en Microbiologie et Biotechnologie de Genève, et débute un soir d’orage.
Alexandra Biedermann a fait publier son premier roman Shadows, en 2018. Elle a malheureusement dû essuyer l’arrêt de la maison d’édition qui venait tout juste de sortir son livre ; l’empêchant alors qu’il soit repris par un autre éditeur, et de pouvoir le mettre en avant à sa juste valeur. Elle a donc choisi de le rééditer par ses propres moyens grâce à l’autoédition, en 2020 mais a subi de plein fouet la crise sanitaire. Elle a retenu la plateforme Bookelis pour bénéficier du réseau de distribution d’Hachette qui permet ainsi à son livre d’être disponible à la commande dans toutes les librairies francophones.
Un roman sourcé et documenté pour la plausibilité
Installée en France près de Pontarlier (25) depuis 2013 avec son mari, la Suissesse a choisi d’écrire autour d’un thème qu’elle connaît-bien puisqu’elle était alors opératrice d’alarme pour une société suisse de sécurité privée et que son intrigue se passe autour de la sécurité de l’Institut de Recherche en Microbiologie et Biotechnologie de Genève. Son roman peut être qualifié de thriller-romance.
Ces deux genres littéraires s’imbriquent à merveille grâce à la plume fluide d’Alexandra. Mais qu’on ne s’y méprenne pas, ce n’est pas un roman à l’eau de rose. Il traite d’un sujet tabou et difficile ; âmes sensibles s’abstenir.
Les chroniques sont unanimes, l’auteure sait tenir en haleine jusqu’au dénouement final.
Elle confesse d’ailleurs : « En écrivant, moi-même je ne savais pas qui serait le coupable. Je pense qu’ainsi je n’ai laissé aucun indice malencontreux qui laisserait deviner ce qui compromet la sécurité du laboratoire. »
Suite au service presse que l’auteure a effectué, elle livre : « Si j’appréhendais ces premiers retours de lecteurs hors de mon cercle de connaissances, je suis aujourd’hui heureuse et pleine de gratitude. C’est super encourageant et ça me donne la motivation pour la correction et la publication du deuxième roman. »
Une vocation née en Afrique du Sud
D’aussi loin qu’elle se souvienne, Alexandra a toujours eu une imagination débordante qui ne demandait qu’à être canalisée. C’est en 2008 en Afrique du Sud où elle a passé 6 mois en mission humanitaire avec l’ONG Imbewu, pour perfectionner son anglais qu’elle s’est remise à lire et que l’écriture s’est aussi imposée à elle. Elle y a découvert les romans de Dee Henderson de qui elle se considère dans la même lignée. C’est à son retour qu’elle a commencé à coucher les premiers passages de Shadows sur le papier.
En 2011 Alexandra a repris ses études en physique se rêvant travailler pour la NASA par exemple. Elle cumulait un emploi à 50 % et animait et gérait le cirque Enfantino avec son mari. Sa santé l’a rappelée à l’ordre. Elle a alors choisi d’arrêter ses études en 2014 et occupait un emploi à 80 %. Ces 5 années intenses l’ont empêchée de continuer à écrire son roman. Le besoin d’écrire était tellement fort qu’elle s’est remise à écrire en 2016.
Avec Alexandra, rien n’est laissé au hasard et elle s’est documentée pendant de nombreuses heures sur les systèmes d’alarme et a fait relire à des experts pour la plausibilité des situations.
« Je n’ai jamais eu l’angoisse de la page blanche. Et ça, je le dois à l’un de mes professeurs de français qui, lors d’un sujet pour lequel je n’étais pas inspirée m’avait suggéré de commencer par quelques phrases. Et aujourd’hui je suis guidée quand j’écris. La Foi est importante pour moi ; j’ai souhaité la transmettre aussi dans mes livres. Dans les milieux de l’armée et des secours autour desquels j’écris elle est très présente également et c’était cohérent avec l’histoire. »
Son 2ème roman est en cours de relecture pour une parution prochaine et le 3ème est déjà en cours d’écriture.
Alexandra espère qu’ils seront tous plébiscités par les librairies.
Elle se rend disponible pour organiser également des séances de dédicaces dans les librairies qui le souhaiteraient.
Shadows, 294 pages, 20 € au format broché, 2,99 € au format e-book
Synopsis : Samantha Beckoff est responsable des services de sécurité d’un institut de recherche en ville de Genève. Nicolas Richmann vient d’en reprendre le poste de responsable des services techniques.
Quand une série d’événements vient remettre en cause la sécurité des laboratoires, et par la même, celle de la population de la ville de Genève tout entière, la collaboration entre les deux équipes est plus poussée que jamais.
Ensemble, Nicolas et Samantha vont devoir s’armer de courage pour affronter des ombres aux desseins aussi cruels que pervers.
Comprendront-ils ce qu’il se passe réellement avant qu’un virus du type Ebola ne se répande au beau milieu de la ville ?
Alexandra Biedermann :
Alexandra Biedermann est née en 1986 à la Chaux-de-Fonds (Suisse). Elle a étudié la physique à l’Université de Genève en parallèle d’un emploi comme opératrice d’alarme pour une société suisse de sécurité privée. Elle a finalement arrêté ses études pour se consacrer à son emploi et coucher sur papier l’imagination débordante dont elle ne manque jamais. Aujourd’hui, elle a aussi créé sa société Prestalidaire avec son mari Sébastien. L’entreprise est spécialisée dans la création personnalisée de logiciels de gestion d’entreprise et de site Internet. Alexandra et Sébastien sont les heureux parents de deux filles. Sébastien a créé la couverture du livre Shadows.