Un Lyonnais, Antoine Bouchet, crée Walter, une start up pour une consommation de l’eau minérale sans bouteilles en plastique.

Le saviez-vous ? Près de 50% des Français consomment quotidiennement de l’eau en bouteille. La plupart du temps en plastique, génèrant une quantité importante de déchets. Antoine a ainsi décidé de lutter contre cette surconsommation de plastique en créant Walter, des cubes d’eau minérale ou de source de 10L, livrés à domicile, par abonnement et sans engagement.

Une manière simple de réduire considérablement sa consommation plastique liée à l’eau. Antoine Bouchet, lyonnais d’origine et diplômé des Arts et Métiers et de l’ESSEC, fort d’un début de carrière à l’international, a cocréé Walter en 2021, avec le soutien de Jean Moueix et David Merle (Bonneval®).

Très attaché à sa région, il a choisi de lancer Walter à Paris puis à Lyon en priorité. Walter distribue aujourd’hui deux marques Savoyardes : Bonneval, une eau minérale millénaire riche en calcium et magnésium et Rocheclaire, une eau de source de montagne faiblement minéralisée et recommandée pour l’alimentation des nourrissons. Entre Lyon et la Savoie, Antoine se sent comme à la maison !

WALTER, UNE MARQUE ENGAGÉE

Des cubes éco-responsables

Walter livre son eau minérale dans des cubes de 10 litres à 90% en carton, recyclables et fabriqués en France. Seulement 60g de plastique recyclable pour 10L d’eau minérale dans une carton recyclé et recyclable. Le tout fabriqué en France.

Walter, c’est 70% de plastique en moins

 6g/L, contre 21g/L en moyenne pour un pack d’eau traditionnel de 6×1,5L

Une logistique éthique

 Walter réduit l’impact social et environnemental de sa communauté, en proposant sa livraison collaborative : des livreurs mieux payés et bien équipés, et des prix dégressifs qui encouragent chacun à optimiser ses commandes pour se faire livrer moins souvent.

Walter, c’est une livraison verte à des horaires malins

Avant 9h le matin ou après 19h pour les particuliers. Aux horaires de bureau pour les entreprises… ou encore la nuit quand c’est possible